Je vous propose un nouveau massage du visage inspiré de la technique japonaise du Kobido®.
Ma pratique de ce massage vise à apporter détente profonde et tonus avec un effet “repulpant”.
Focus sur le massage du visage japonais.
C’est un lifting naturel qui agit par stimulation manuelle.
avec un effet global sur le rajeunissement du visage.
Alternant acupressions, lissages, balayages, effleurages glissés, pincements, pétrissages, le massage tend à repulper les peaux fatiguées, le visage est reposé, les traits détendus.
- Il stimule les muscles et la production du collagène avec une action antiride
- Il draine les toxines.
- Il ramène et fait circuler l’énergie dans tout le visage.
- Il apaise et apporte une sensation de calme et de bien-être.
Durée : 75 min // tarif : 90 €
Forfait de 5 KOBIDO tarif : 400 € (payable à la 1ère séance.)
Comme dans ma pratique de l’abhyanga, j’y associe une intention juste et nécessaire dans un geste proche d’une démarche artistique et méditative.
Pour les plus curieux, un peu d’histoire sur le Kobido®
Kobido® signifie “Art de la beauté” ou “La joie de la beauté ancestrale”.
A l’origine, cette pratique considérée comme une discipline artistique vient du massage dite Anma ou Amma importé de Chine en 562.
L’une des 7 techniques autour desquelles les grands maîtres se livraient des compétitions était le Kyoku-te.
La lignée de la maison Kobido® est née à la suite d’une de ces compétitions qui opposa deux des plus grands maîtres durant des mois. Ne pouvant se départager, ils s’associèrent pour créer un protocole de 48 techniques qui évolueront durant des siècles mais serviront toujours de trame immuable à ce massage.
Aux alentours des années 1880 (période Meiji), l’influence française fait évoluer le massage Kobido® en y associant différentes techniques de soin de la peau.
Dans les années 50’, une clinique Kobido® propose ses soins aux plus fortunés participant au prestige du massage du visage et contribuant largement à la réputation dont il bénéficie aujourd’hui. Aujourd’hui Maître Shogo Moshizuki, est l’unique héritier de cette technique, au titre de la 26ème génération.